Comment démarrer la nouvelle année au mieux ? Avec un programme dense, exigeant et de la galette, pardi.
Nous avons débroussaillé trois nouvelles partitions :
1. Pizzetti, Piena sorgeva la luna, à six voix : les quatre voix d’hommes confisquent pour une fois le chant aux soprani. L’occasion parfaite pour les deux nouveaux ténors, Jean-Luc et Hubert, de briller… quand rhumes, laryngites et pharyngites ne seront plus que mauvais souvenirs.
2. Monteverdi, Agnus Dei de la Messe : du sourire, de la tendresse, toute en tranquillité pour un premier assemblage. La pâte a pris.
3. Lauridsen, La rose complète : les yeux fermés, la rose a éclos. Incroyable comme le par cœur donne à voir autrement.
Nous avons aussi retravaillé les trois premières Chansons des Roses de Lauridsen et le Salve Regina de Poulenc. Terrain plus familier, certes, mais il reste du travail, notamment vers davantage de douceur (dulcis virgo, dulcis virgo) !
Samedi soir, l’assemblée générale de l’association Fiamme Musicali s’est terminée autour de trois immenses galettes. Personne ne s’est cassé les dents sur une fève, ouf. Ce n’est pas parce que la chef ne veut pas voir nos dents qu’on n’en a pas besoin !
Le 5 février nous approfondirons le travail sur les quatre premières Chansons des roses de Lauridsen, l’intégralité de la Messe de Monteverdi et Piena sorgeva la luna de Pizzetti – par cœur pour ce dernier. Nous ouvrirons la porte du Giardino di Afrodite, de Pizzetti, pour une première découverte.